Didier Reynders l’affirmait, au terme des négociations : « L’avantage fiscal lié aux voitures de société restera inchangé ». Pour les travailleurs, en tout cas. Car lors de la conférence de presse, Johan Van Overtveldt, ministre des Finances, vient de le préciser : « Nous allons travailler à une adaptation de la fiscalité automobile pour l’employeur. La déductibilité fiscale du carburant des voitures de société sera limitée ».
Au total, cette « nouvelle fiscalité » devrait rapporter à l’Etat quelque 100 millions d’euros.
Le budget détaillé sera présenté ce dimanche au Parlement.